Currently viewing Vol. 1 • Issue 5 • 2014

Message from the Guest Editor

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I met Robyn Cox, if I am remembering correctly, on my first day of grad school back in September, 1980, when she walked in to teach the 5 of us in my class at what was then Memphis State University. Putting all of the pieces together now I realize that she must still have been fairly new at the professor game. She was by her own account not well known at the time and had recently published the monograph, but to us she already seemed a major force of audiology.

I must have absorbed quite a lot of this force as I find so much of what she has written over the years resonates with how I practice audiology. This stands to reason, I suppose, because she was my major professor, and I therefore spent a great deal of time in her company. (Quite a few of my hours were spent in a lab splicing audio tape for a pilot study which, now that I think about it, would be a great deal easier to do now with digital recordings.). And yes, as Marshall Chasin pointed out in his editorial, I did babysit for Robyn Cox back in the day.

Whilst I was at Memphis State “A Working Conference on Amplification for the Hearing Impaired: Research Needs” was held at the Bill Wilkerson Hearing and Speech Center of Vanderbilt University in Nashville, Tennessee. Since we were just on the other side of the state and since several of our professors were going to be participating anyway, we students attended as helpers, serving coffee, etc., to some people who, up to that time, had been just names in our text books and journals. We were allowed to listen to the proceedings and were able to observe Robyn in action amidst all of these “big wigs” of the field. It was impressive to see what place she already occupied among them.

I have found myself thinking several times over the years that I am glad to be involved in this exciting time in the field. How very much more Robyn must have felt this as she was at the epicenter of some of the major activity. Back in 1979 custom hearing aids were in their infancy. The idea of being able to amplify speech out past 4000 Hz without significant feedback was something of an elusive dream. The main outcome measure that we had (other than the debunked aided monosyllabic word tests) was the question “How does that sound, sir?” But even with our limited tools (and here I don’t mean the tiny screwdrivers) we were able to improve our patients’ hearing and, through that, their lives. How many more and finer tools we audiologists have in our hands today! We need to continue to aim at the goal of improving lives rather than of simply fitting hearing aids, and with Robyn’s contributions to the field we have some excellent – and still evolving – tools to use for that purpose.


Message de la rédactrice invitée

J’ai rencontré Robyn Cox, si ma mémoire ne me trompe pas, ma première journée de classe de mon troisième cycle Septembre 1980, quand elle est arrivée pour nous enseigner, à moi et les quatre autres personnes de ma classe dans ce qu’était en ce temps Memphis State University. En y repensant aujourd’hui, je me rends compte qu’elle devait être assez nouvelle au jeu de l’enseignement. Elle n’était pas par elle-même bien connu en ce temps et avait publié récemment la monographie que vous verrez maintenant sur le site web de l’ACA, mais pour nous elle semblait déjà être une puissance de l’audiologie.

Je dois avoir absorbé beaucoup de cette force comme je trouve que beaucoup de ce qu’elle a écrit à travers les années résonne avec la façon avec laquelle je pratique l’audiologie. La raison, je suppose, est qu’elle était mon enseignante principale, et par conséquent j’ai passé beaucoup de temps en sa compagnie. (J’ai passé des heures au labo à passer au fil les cassettes audio pour un projet pilote qui, maintenant que j’y pense, aurait été beaucoup plus facile à faire avec des enregistrements numériques.). Et oui, comme Marshall Chasin l’a mentionné dans son éditorial, j’ai gardé les enfants de Robyn Cox en ces temps-là.

Pendant mon passage à Memphis State “Une conférence de travail au sujet des amplifications pour les malentendants: Besoins en recherche” a été organisée au the Bill Wilkerson Hearing and Speech Center of Vanderbilt University à Nashville, Tennessee. Comme nous étions juste de l’autre côté de l'état et que plusieurs de nos professeurs allaient y participer de toute façon, nous les étudiants avons participé comme aidants, servant du café, etc., à des personnes qui, jusque-là, étaient juste des noms dans nos manuels et journaux. On nous a permis d’assister aux réunions et nous avons observé Robyn en pleine action au milieu de toutes ces “grosses perruques” du secteur. C’était impressionnant de voir la place qu’elle occupait déjà parmi eux.

Je me suis retrouvée à penser plusieurs fois à travers les années que je suis ravie d’avoir été impliquée dans ces temps plein d’excitation pour le domaine. Robyn l’a probablement sentit beaucoup plus étant donné qu’elle était l’épicentre de certains des activités majeures. En 1979, les appareils auditifs personnalisés étaient dans leur état embryonnaire. L’idée de pouvoir amplifier la parole au-delà de 4000 Hz sans feedback significatif était un rêve élusif. Le résultat majeur que nous avions (autre que les tests démolis de mots monosyllabiques) était la question “Comment est le son, monsieur?” Mais même avec nous outils limités (et je ne parle pas ici de visseuses fines) nous avons amélioré l’ouïe de nos patients et de fait, leur vies. Combien d’autres outils fins, nous audiologistes, avons à notre disposition aujourd’hui! Nous devons continuer à cibler le but d’améliorer des vies plutôt que de simplement ajuster des appareils auditifs, et avec les contributions de Robyn au domaine, nous avons quelques excellents – et toujours en évolution – outils à utiliser pour cet objectif.

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About the author

Sheila Douglas, AuD, Technical Support Audiologist

Sheila Douglas, AuD, is a technical support audiologist at Unitron Canada. Previously she worked as a clinical audiologist in a health unit and some hospitals in Ontario as well as a Royal Infirmary in Scotland.  Sheila obtained her BS (speech & hearing) from Purdue University, her MA (audiology) from Memphis State University (where she studied under Robyn Cox among others), and her AuD from ATSU.