Message from the Editor-in-Chief
Version française disponible ci-dessous
It was a cold fall day in November of 1981 when I descended the escalator to the conference rooms in the old Weston hotel in Toronto. This was the first (and only) time when ASHA was held outside of the United States. As I took my seat, sitting right behind me was Dr. Robyn Cox. I knew Robyn only from her writings and actually kept her 1979 monograph on “Acoustic Aspects of Hearing Aid-Ear Canal Coupling Systems” (Monographs in Contemporary Audiology 1979:1[3]) beside my bed. It’s not that reading it put me to sleep but actually kept me awake at night. This publication is only 44 pages long but had more facts about acoustics and hearing aids than any other article or monograph that was ten times as long. I still have 2 copies on my bookshelf and I refuse to lend them out fearing that they would be scooped up into someone else’s library.
Sitting next to Robyn was Dr. Gerry Studebaker who was a giant in the field of audiology. Robyn politely introduced me to Gerry at which time I proceeded to ignore him and just talk to Robyn. I have no memory of the papers that were presented at that conference, but almost 35 years later, if pressed, I could tell you what Robyn was wearing.
Since that time, my infatuation with Robyn’s research was not diminished. I remember that introduction of the PHAB, and later APHAB, and recall that my first thought was disappointment that Robyn had left the “real part of audiology” and was getting into something that we only needed to read about for an exam at school. Little did I realize that questionnaires such as the APHAB would become the mainstay of our industry and profession.
Given everything that Robyn Cox has done for the field of audiology I couldn’t imagine doing clinical work without her contributions.
This issue of Canadian Audiologist is dedicated to the life’s work of Dr. Robyn Cox (if you haven’t guessed already). It has been guest edited by Sheila Douglas who studied with Robyn at Memphis State, and if memory serves me correctly, Sheila used to baby sit Robyn’s children. Sheila has been an audiologist on the Canadian scene since the early 1980s and is now senior technical support audiologist at Unitron.
Sheila has put together a wonderful issue with submissions from those in the industry who know Robyn and her research better than anyone. We are also honoured to be able to “house” a pdf version of her 1979 monograph in the issue and on the CAA website.
Thank you Sheila, and thank you Robyn.
Message du rédacteur en chef
C’était une journée froide d’automne de 1981 quand j’ai descendu les escalateurs à la salle des conférences de l’hôtel Old Weston à Toronto. C’était la première (et la seule) fois que ASHA s’est tenue en un lieu en dehors des Etats Unis. Je prenais ma place et assise juste derrière moi était Dr. Robyn Cox. Je connaissais Robyn seulement à travers ses écrits et en fait je gardais sa monographie de 1979, “Acoustic Aspects of Hearing Aid-Ear Canal Coupling Systems” (Monographs in Contemporary Audiology 1979:1[3]) sur ma table de chevet. Ce n’est pas que sa lecture m’endormait, en fait, elle me gardait éveillé la nuit. Cette publication est de seulement 44 pages mais elle avait plus de données en acoustique et appareils auditifs que tout autre article ou monographie dix fois plus longs. J’ai toujours 2 copies dans une de mes étagères et je refuse de les prêter à quiconque de peur qu’elles ne finissent dans la bibliothèque de quelqu’un d’autre.
Assis près de Robyn, Dr. Gerry Studebaker qui était un géant du domaine de l’audiologie. Robyn m’a présenté poliment à Gerry et je n’ai fait que l’ignorer pour ne parler qu’à Robyn. Je n’ai aucune mémoire des papiers qui ont été présentés à cette conférence, mais presque 35 après, si j’y pense, je pourrai vous dire comment Robyn était habillée.
Depuis ce temps, mon engouement pour la recherche de Robyn n’a jamais cessé. Je me rappelle de la présentation de la PHAB, et plus tard APHAB, et je me souviens que ma première pensée était la déception que Robyn délaissait la “partie réelle de l’audiologie” et se lançait dans quelque chose dont on avait besoin seulement pour préparer un examen. Peu me rendais-je compte que les questionnaires tels l’APHAB deviendraient le socle de notre industrie et profession.
Etant donne tout ce que Robyn a fait pour le domaine de l’audiologie, je ne pouvais concevoir pratiquer cliniquement sans ses contributions.
Ce numéro d’Audiologiste Canadien est dédié à l’œuvre de Dr. Robyn Cox (si vous ne vous en doutiez pas encore). Le numéro est Co rédigé par Sheila Douglas qui a étudié avec Robyn au Memphis State, et si ma mémoire ne me trompe pas, Sheila gardait les enfants de Robyn. Sheila est une audiologiste opérant sur la scène canadienne depuis le début des années 80 et est maintenant audiologiste senior pour le soutien technique à Unitron.
Sheila a préparé un numéro magnifique avec des soumissions de ceux de l’industrie qui connaissent Robyn et ses recherches mieux que quiconque. Nous sommes aussi honorés de pouvoir “domicilié” une version pdf de sa monographie de 1979 dans ce numéro et sur le site web de l’ACA.
Merci Sheila, et merci Robyn.